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Comme promis, après les 3 recettes de smorrebrød que je vous ai proposées, je vous donne celle du pain qui pourra évidemment se manger au petit déjeuner ou au goûter ! Le rugbrød, littéralement pain de seigle en danois, est un pain dense, riche en graines et absolument délicieux ! Il est très facile à faire, mais il conviendra de le préparer au moins 2 jours avant de le manger, car il faut une nuit de fermentation/pousse, et une nuit une fois cuit pour le laisser reposer.
Un gâteau bien moelleux à souhait, au citron, surmonté d’une chantilly au mascarpone et citron. Le tout est peu sucré en bouche et révèle les saveurs exquises de ce bel agrume. Pour une fois, je fais une cuisson en chaleur non ventilée, pour garder le gâteau plat et qu’il ne fasse pas une bosse au centre.
Une recette ultra simple, fraiche, qui nous rappelle souvent notre enfance. Je suis fan de riz au lait et de sa cousine, la semoule au lait. Ici une version classique avec des raisins au rhum, que vous pourrez évidemment ne pas mettre. Je vous donne aussi ma petite astuce pour toujours avec la texture crémeuse que j’aime tant.
Une recette fraîche et moelleuse, mais surtout étonnante pour celles et ceux à qui vous pourriez la faire découvrir. Il s’agit de mochi fourrés avec une fraise et de la pâte de haricot azuki. Ichigo désigne la famille des rosacées, mais dans ce contexte il veut très clairement dire « fraise ». La pâte toute douce de mochi, se mélange à merveille avec le fruit juteux et sucré et la pâte anko, au final peu sucrée à la consistance d’une crème de marrons plus ferme. À réaliser par tous les amoureux de la pâtisserie japonaise.
Comme promis, je vous donne ma recette de dorayaki ! Par la même occasion, vous pourrez faire avec la même pâte, le taiyaki en forme de poisson. Quand j’allais régulièrement au Japon (une autre époque), dès que je visitais un temple, je me retrouvais dans une de ces petites échoppes qui vendaient ces petites douceurs. Je n’étais pas le plus grand fan d’anko (cette pâte sucrée de haricot azuki), mais très rapidement j’y ai pris goût. Aujourd’hui j’adore cela et je suis ravi de pouvoir faire ces gâteaux à la maison. Il est beaucoup plus simple de faire le dorayaki (dora qui signifie gong, sa forme évidente), qui se fait avec une simple poêle anti-adhérente, plutôt que le taiyaki (tai était une dorade rose) qui lui nécessite un gaufrier spécial que j’ai acheté à Tokyo.
Une recette qui ne manque pas de diviser ! Soit on aime, soit vraiment on ne peut pas. Il m’a fallu du temps pour vraiment apprécier, puis adorer cette pâte sucrée de haricot rouge azuki. J’achetais des pâtisseries à Tokyo les nombreuses fois où j’y suis allé dans une autre vie, qui en contenait et au départ j’étais un peu sceptique. Puis c’est devenu ma petite routine de finalement en déguster à chaque fois. Je tenais à vous donner la recette de l’anko, avec les deux versions possibles : la tsubuan, avec les haricots cuits entiers et la koshian, avec les haricots mixés et tamisés. Cela sera bien sûr suivi par une recette de dorayaki !