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Un cheesecake d’origine basque? Pas vraiment, mais l’histoire est surtout très récente (moins de 30 ans) et devient visiblement une recette classique et connue sur les réseaux sociaux et les pâtisseries des États-Unis et de certains pays d’Asie. Vous pourrez trouver l’histoire de ce gâteau sur internet. En gros il est né dans un restaurant à Saint Sébastien dans les années 90 avant d’être (re)découvert dans les années 2010 et de devenir connu aux États-unis, comme étant le Basque Burnt Cheesecake. L’histoire du cheesecake ne fait qu’évoluer, d’abord de la culture juive des pays d’Europe de l’Est, avant de devenir gâteau de référence en Amérique du Nord, puis de s’adapter à nouveau en Asie en version plus coulante ou soufflée. Cette version ne vient donc pas du pays Basque en tant que spécialité régionale, mais est bien née du désir d’un talentueux restaurateur, d’en faire une nouvelle version. Sa différence, avec un cheesecake classique, vient de sa croûte caramélisée et de son cœur moelleux à souhait. Je mets, en plus du cream cheese, du fromage blanc non sucré classique, mais vous pourrez mettre de la crème entière épaisse, ou même du mascarpone !
De gros sablés bien craquants et croustillants ! Voici mes sablés grué de cacao et noix de pécan. Ils sont très peu sucrés au goût (suffisamment au mien), et cela peut en étonner plus d’un. On s’attend à un sablé chocolaté, mais c’est bel et bien du grué de cacao que j’ai mis. J’adore leur texture qui sera parfaite sur ces gâteaux, pour un goûter riche en saveurs !
Lors d’un voyage dans les Cyclades, j’avais eu la chance de goûter plusieurs fois au saganáki, ce délicieux fromage frit. L’une des versions avait été réalisée avec des flocons d’avoine et le résultat était inattendu et franchement délicieux. Le fromage utilisé, le kefalograviéra étant assez difficile à se procurer dans nos contrées, je vous propose une alternative avec le halloumi, beaucoup plus simple à trouver. Servi avec du miel et quelques tranches de citron, ce plat simple sera la star de votre apéritif ou de votre entrée !
J’aime beaucoup l’idée des gâteaux de voyage, ces gâteaux qui se conservent assez longuement. Celui-ci ne contient ni crème, ni beurre et révèle le goût intense de la noisette torréfiée. Il sera très facile à préparer, mais il conviendra d’anticiper un peu pour faire griller la noisette en poudre qui servira dans la confection de ce gâteau qui sera parfait à l’heure du thé !
Voici un gâteau délicieux et étonnant, à base d’amande et au bon goût de miel, mais avec également un ingrédient plutôt inattendu et qui apporte un belle texture. Il sera délicieux tel quel, bien frais ou à température ambiante, ou accompagné d’une chantilly totalement addictive au cream cheese et au miel. Il est très simple et se prépare en quelques minutes.
J’ai la chance d’avoir un maraîcher qui propose pas mal de légumes exotiques, dont les patates douces classiques orangées, mais aussi les blanches, à la texture plus ferme que j’affectionne particulièrement. J’en avais achetées, et elles trainaient depuis un moment dans ma cuisine. Elles se conservent très bien. Mais je me suis lancé dans une recette un peu au feeling, sans savoir comment elle allait évoluer. Le résultat s’est avéré délicieux, avec une sauce très savoureuse. La viande est tendre et juteuse à souhait et la patate douce blanche est ferme et fondante à la fois. Un petit festin !
